Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (20) : Aucune Limite À LHypersexualité Et Au Candaulisme ?
Marie avait cru arriver à ses fins, mais avait échoué. Certes, elle avait passé une nuit damour avec Philippe et ce, en ma présence, partagée entre douleur dassister impuissante à ladultère de Philippe et lexcitation de lérotisme torride de leurs ébats.
Mais au matin, la dominatrice qui rêvait de marracher mon mari candauliste subit un échec humiliant. Philippe lui affirma quil avait passé une nuit exceptionnelle, mais que cétait moi et personne dautre quil aimait. Je savais que jaurais à payer le prix de cet échec, puisquelle avait annoncé que Jean et Christine avaient mis à sa disposition le « château », la maison de campagne où javais connu ma première partouze SM (voir récit 16). Malgré les demandes insistantes de Philippe, jen avais accepté le principe. Je ressentais le besoin dêtre punie. Marie avait compris que jaimais ça et que les pratiques les plus extrêmes ne me faisaient pas peur, au contraire.
En attendant ce moment, Marie essaya une autre tactique. Elle voulait pousser Philippe à séloigner de moi en organisant, avec Rachid, des séances de débauche où je naurai plus aucune limite. Quainsi, pour éviter que sa réputation ne soit définitivement ruinée, quil se décide à me quitter. Dès lors, elle était certaine de le récupérer.
Marie avait, là également, compris que mon hypersexualité navait aucune limite et que voir se succéder un nombre toujours plus grand dhommes entre mes cuisses ne me faisait pas peur. Ils étaient bien loin les scrupules que javais encore quelques mois auparavant, avant de devenir la femelle de Rachid. Jétais devenue insatiable, folle de mon corps. Des récits que jai pu lire à ce sujet, il ny avait guère que limpératrice romaine Messaline qui avait été plus « salope » que moi.
Là où Marie se trompait, cétait au sujet de Philippe. Dune part, sa réputation était depuis un moment ruinée. Notre couple était un objet de scandale. Philippe était « le cocu, le pédé ».
Vous vous souvenez que, peu après le début de notre relation, Rachid avait commencé par moffrir à dautres hommes. Le premier fut le concierge Georges, qui se vengea ainsi de mon comportement deux ans auparavant, quand je lavais à tort accusé de viol. Georges avait aussi été récompensé, car cest lui qui avait fait en sorte que mon chemin croise celui de Rachid. Cétait son triomphe et un vrai coup de génie, car la bourgeoise hautaine qui le méprisait était devenue la dernière des salopes, une putain gratuite à la disposition dun petit caid du quartier chaud de la ville.
Georges passait mhonorer quand lenvie lui prenait ou quand Rachid lappelait, en lui disant quil était épuisé et que je nen avais « jamais assez ». Comme je détestais ce sale type, jespérais quil ait vite fait son affaire et javais honte de moi quand, malgré moi, je prenais mon pied sous ses assauts brutaux.
Jétais devenue pour Rachid et ceux à qui il moffrait un vide-couilles, mais je le lacceptais pour au moins trois raisons. Premièrement, cela répondait à mon incroyable libido, qui fait que je suis capable denchaîner les orgasmes. Deuxièmement, je connaissais ma récompense, je savais que je me ferai prendre par Rachid. Son endurance et sa bite détalon faisaient de lui le mâle quil me fallait. Jai connu depuis les débuts de ma vie sexuelle des milliers damants, Rachid fait partie de ceux que je noublierai jamais, avec Gianni, lhomme qui ma dépucelée, Pedro et Joao, mes amants de Rio, Hassan qui fut mon mâle après Rachid et, plus récemment N.
Jai été amoureuse de Rachid et de Hassan, comme je le suis aujourdhui de N. Notre couple avec Philippe traverse actuellement des turbulences (mais il en a déjà surmonté beaucoup) dautant que Philippe est lui aussi tombé amoureux dune autre femme, cette petite garce de Théodora.
Et la troisième raison de mon acceptation était que Philippe avait donné son aval, mais quen plus il adorait ça. Quand il rentrait de son travail, il me demandait de lui raconter ma journée, sans omettre le moindre détail et je voyais quil était excité en imaginant le plaisir que javais pu prendre. Et il était encore plus heureux quand il pouvait être présent. Il encourageait mon amant du moment, lui disait combien jétais belle, quil ne devait pas se gêner et surtout me faire bien jouir. Philippe aimait et aime toujours me donner des consignes, mintimant de faire une fellation à mon amant du moment, lui disant « vous verrez, personne ne taille mieux une pipe que mon épouse ».
Le moment quil préfère est naturellement celui où je me fais prendre. Il demande à mon amant quelle position il souhaite, en lui conseillant de me « baiser en levrette, car cest celle qui la fait le plus jouir ».
Pendant que lamant me baise, que ses couilles tapent sur mes fesses, mes gémissements se transforment en cris de plaisir, mon Philippe me prend la main, membrasse, me dit des mots damour.
Le macho qui me pilonne, plein de mépris pour ce couple quil ne comprend pas, nous couvre souvent dinjures. Mais peu nous importe, Philippe et moi sommes tout entier dans notre plaisir, moi de menvoyer en lair, lui dêtre le complice et le témoin de mon plaisir.
Quelle est bonne cette salope. Prends-ça, petite pute ! Tu aimes ?
Oui, salaud, pilonne-moi, mets la bien au fond. Comme ça, plus fort. Ouiii ! Philippe, mon chéri, je taime, merci davoir voulu tout ça
Et toi, cocu, comment tu peux aimer voir ta femme se faire sauter sous tes yeux ? Faut pas être un homme pour vouloir ça !
Cest tout simplement la preuve dun amour sans limites. Eprouver le plaisir de voir la femme quon aime jouir et être heureuse. Ne vous en plaignez pas et ne nous jugez pas, profitez-en à fond plutôt et faites bien jouir mon Olga.
Sur les conseils et par lentremise de Georges, mes « services » furent bientôt proposés aux autres résidents de limmeuble. Létape suivant fût lorsquil ma été demandé de les draguer moi-même. Cela me rappelait quand, une décennie auparavant, lycéenne puis étudiante, je draguais mes profs et collectionnais amants et adultères. Les hommes mariés nétaient pas les derniers, sauf rares exceptions, à profiter de laubaine. Ca se passait chez nous et même quelquefois chez eux, car jaimais cocufier dans le lit conjugal une épouse coincée, qui ne cachait pas son mépris à mon égard. Par le canal de Gilbert, le fils de Georges, notre dévolu a porté sur les adolescents de limmeuble et jen ai déniaisé plusieurs. Ce nest pas ce que je préférais car, dans cet immeuble bourgeois, ces jeunes gens étaient plutôt coincés et peu performants, à la différence des copains de cité de Rachid, dont je parlerai un peu plus loin.
Bref, mon dévolu sest porté sur tous les mâles de limmeuble, y compris Robert, un veuf de 70 ans, qui, avec laide de Viagra, a été un amant vigoureux et à qui jai donné un immense bonheur, lui qui navait pas fait lamour depuis des années. Avec laccord de Rachid et de Philippe, je venais de temps en temps passer la nuit avec Robert. Jétais devenue sa maîtresse et il fut même autorisé, à la différence des autres, à me prendre sans préservatif et à jouir en moi. Jen profite pour dire quà lexception de mes amants de Rio et de Rachid, jai toujours été attirée par des hommes plus âgés que moi. Sans doute la conséquence du complexe dElectre de mon adolescence et que je navais pu réaliser jusquau bout.
Je me suis occupée de déniaiser les « puçeaux » de limmeuble. Ils étaient généralement contactés par Gilbert, le fils de Georges. Même si jai toujours préféré des amants expérimentés et plus âgés que moi, jacceptais de rendre ce service, car je sais que ces jeunes gens noublieront pas leur première expérience avec la belle Olga T.
Le cas le plus torride fut celui de Thierry, un lycéen de 17 ans.
Je lui dis :
Passe me voir demain quand tu rentres du lycée !
A lheure prévue, je laisse la porte de lappartement entrouverte. Quand jentends Thierry entrer, je suis dans ma chambre. Je suis déjà nue depuis un moment, couchée, les jambes ouvertes : je me masturbe. Son pas sarrête devant la porte, il doit me regarder. Jentrouvre les yeux : il est bien là à me regarder faire. Je vois sa main aller sur sa queue quil masse à travers son pantalon.
Je lui fais signe dapprocher. Je sais quil bande. Je ny tiens plus, je lui prends le paquet dans la main. Je sors sa queue : une belle queue quand il bande. Jen ai rarement vue daussi grosses et longues. Je le branle lentement, son visage rougissant devient normal. Je ne lâche pas et à mon étonnement il jouit rapidement. Je dirige son jet de sperme vers mon visage.
Tant pis, il est jeune, il ne tardera pas à bander encore. Je prends ses mains pour quil me pelote. Maladroitement il me caresse. Je ne peux pas lui dire que ce quil fait nest pas excitant. Je ne vais pas le décourager. Je dois être sa première vraie femme. Je prends ses mains pour les diriger sur mes seins. Cest beaucoup mieux ainsi. Je défais sa ceinture et fait tomber dun seul coup son pantalon et son slip. Il ne sen formalise pas. Je reprends encore sa bite qui ne bande pas beaucoup. Cette fois je me baisse devant lui pour lui prendre la queue dans ma bouche, cette fois je suis certaine que je suis la première à le sucer. Je vais lui apprendre quelques trucs : je passe une main vers son cul où je rentre deux phalanges, je lui caresse les couilles. Jai ma langue qui lèche son gland, avant que je le prenne presque à moitié dans ma bouche, je ne peux réellement pas en entrer plus. Je me relève avant quil jouisse.
Je veux quil me baise avant de jouir encore. Je me couche sur le lit, nos lèvres enfin se réunissent pour un baiser où cest lui qui met sa langue dans ma bouche. Thierry vient sur moi dans lintention de me baiser. Je veux lui apprendre certains principes tels que faire jouir sa compagne avant lui. Je lui fais mettre sa langue sur mon sexe. Il ne sait comment faire: je le lui explique surtout avec des mouvements explicites de mon bas ventre. Il comprend vite quil doit me sucer le clitoris, chose quil semble découvrir. Je lui fais mettre sa langue directement dans le trou de ma chatte où là aussi il découvre quil faut aller et venir et tourner la langue à lintérieur. Jhésite à le faire venir sur mon anus. Et puis, après tout, jai envie de jouir, il est là, jen profite. Il sapplique à entrer toute sa langue dans mon cul. Il doit penser que je suis vicieuse et pourtant cest normal de jouir par le cul.
Quand jai jouis trois fois, je lui permets de venir sur moi.
Je le dirige vers mon entrée secrète, pas tellement pour lui qui y mit la langue. Il voudrait entrer brusquement : je la fais entrer doucement sans à coup. Il obéit sagement et je peux enfin avoir sa bite dans mon con. Je le dirige pour faire durer mon plaisir.
Je sens bien sa queue en moi. Je sens encore mieux ses mouvements que jaccompagne. Je le laisse me faire jouir trois fois avant de me retourner en levrette. Il vient à la recherche de mon vagin. Ce nest plus là que je le veux: II faut que je lui explique que les femmes ont aussi un cul et quelles aiment se faire mettre par là aussi. Je mouille mon anus avec ma cyprine, il y rajoute de sa salive avant de venir sur moi. Là encore je lui demande daller très doucement, un cul nest pas ouvert et humide comme un con. Il entre très lentement, même trop lentement à mon goût. Il me la met au fond sans que je le lui demande: il ma fait jouir plusieurs fois. Soudain il accélère son rythme pour lâcher son sperme. Je sens sa pine qui grossir à chaque giclée.
Jaurai aimé avoir un peu de sa liqueur dans ma bouche. Je le ferais tout à lheure.
Il est tard, il faut quil rentre chez lui, il me quitte en membrassant sur la bouche. Il revint le lendemain.
Il membrasse encore. Il me met sa main directement sur mon sexe, avec un doigt sur le clitoris. Il commence à me branler, le petit saligaud. Je le laisse faire. Il ma donné encore envie de jouir, je mabandonne à ses caresses dautant que connaissant les lieux il memmène dans la chambre. Il veut me baiser encore une fois. Je refuse, je le veux dans ma bouche. Je décalotte son gland avec mes lèvres, je le lèche encore sans le prendre dans la bouche, je commence par ses couilles velues, en mettant toujours un doigt dans son cul. Enfin mes lèvres entourent son membre. Je fais aller et venir très lentement ma bouche sur sa bite. Je sens quelle enfle de plus en plus. Jaccélère pour quil jouisse vite. Je reçois toi ou quatre jets magnifiques de spermes dans la bouche. Je reste suspendue à sa queue un bon moment pour ne rien perdre de sa semence. Je me relève et devant lui lentement javale son liquide qui ne lest pas tant que ça. Je lui trouve un goût eu peu amer.
Il nest pas en bonne forme pour me baiser. Je lui montre comment je me branle, je commence par écarter les lèvres pour faire ressortir le clitoris de sa protection. Je mouille trois doigts de la main droite avec de la salive et les passe sans arrêt sur le haut du clitoris. Je jouis une première fois. Je fais suivre immédiatement après trois doigts, jamais moins, dans le vagin, je me baise carrément. Enfin je me sodomise un peu, juste le temps dune jouissance avec toujours ces mêmes trois doigts. Je le regarde depuis que jai commencé, sa bite bande petit à petit.
Elle est assez grosse maintenant : il vient sur moi pour une dernière baise. Il a bien compris les leçons de ce matin. Il me fait encore jouir avant lui pour enfin décharger sa dose.
Il va sans dire que tout ce manège na pas plu à tout le monde dans limmeuble. Mes frasques ont même été à lorigine dun divorce, ce que je regrette bien entendu, même si aujourdhui je partage lopinion quavait exprimé Philippe lors de notre mariage au sujet de la fidélité. Le véritable amour nest pas dans la fidélité, mais dans la liberté assumée de chacun, dès lors que les relations ne sont pas dissimulées et que la franchise est la règle. Je sais que ce nest pas facile et moi-même jai toujours eu du mal quand dautres femmes ont été les maîtresses de Philippe, comme ce fut le cas de Christine et, encore plus de celles qui ont cherché à me le prendre, comme Marie C, Flavienne et, actuellement, Théodora. En ce qui me concerne, la fidélité est impossible à demander à lhypersexuelle que je suis. Cest parce que Philippe est candauliste que notre couple a toujours tenu.
Nous avons finalement été contraints de quitter cet immeuble pour une villa où nous étions plus à nos aises pour notre vie intime, même si je gardais la nostalgie de limmeuble qui avait vu la transformation de ma vie de femme. Je ne pouvais par exemple pas prendre lascenseur sans me rappeler ce qui sy était passé lors de ma première rencontre avec Rachid.
Rachid est allé plus loin que de moffrir aux autres mâles de notre ancien domicile. Très rapidement après que je sois devenue sa «femelle» et quil se soit installé chez nous, il me demanda de mhabiller particulièrement sexy, mannonçant quil mamenait à sa cité. Javais compris quil voulait mexhiber mais surtout moffrir à ses potes.
Javais choisi de porter une jupe très courte, un débardeur très décolleté, des talons aiguilles. Je métais maquillée outrageusement, insistant sur le khôl autour des yeux et le rouge pour mettre en valeur ma bouche et mes lèvres.
Ca te plait, Rachid ?
Tu es parfaite, on croirait une professionnelle !
Jen suis une désormais. Gratuite, mais je suis devenue ta pute, mon chéri
Tu me fais bander, Olga. Mais je patienterai jusque ce soir, car des mâles tattendent avec impatience.
Comme tu me las demandé, je porte mon alliance.
Parfait, ça les excite particulièrement de baiser lépouse dun notable.
Toujours soucieux de mexhiber, Rachid avait insisté pour que nous allions à la cité en bus. Je voyais aux regards de désir de certains mâles ou de réprobation des autres que je ne passais pas inaperçue. Rachid ne se privait pas de poser une main sur mes fesses, en signe
Arrivés à la cité, la difficulté pour moi fut de marcher, bien que Rachid me tienne par le bras. Il prenait tout son temps. De temps en temps, il me prenait par lépaule, puis sa main se posait sur mes fesses. Il sarrêtait régulièrement, me serrait dans ses bras et nous échangions de longs et fougueux baisers. Je sentais contre moi son désir, et de mon côté, mes tétons étaient durs, signe de mon désir dêtre baisée. Rachid me laurait demandé, je me serais offerte à lui ici, en public, en pleine rue.
Rachid, je taime. Je ferai tout ce que tu veux. Tu seras fier de moi, je ne te décevrai pas. Je suis prête à baiser avec tous ceux à qui tu voudras bien moffrir. Merci chéri de moffrir tant de plaisir.
Tu ne seras pas déçue non plus, Olga, je veux toffrir tout le plaisir que ton corps réclame.
Ils seront combien aujourdhui ?
Jai dû établir des listes dattente. Nous reviendrons ici chaque semaine et tu en as pour des semaines. Je ne veux pas simplement te faire saillir. Je veux que mes frères puissent bien profiter de toi, de ton corps, de tes trous. Ils vont te faire lamour. Labattage, ce sera une autre fois et à un autre endroit. Jai donc prévu en moyenne une dizaine damants pour chaque après-midi passée ici.
Tu ne seras pas jaloux de me voir jouir avec un autre que toi ?
Ce ne sera pas la première fois.
Tu prends des risques. Peut-être quici je rencontrerai un autre mâle qui voudra mavoir pour lui seul.
Je ne pensais pas alors à ce qui sest produit ensuite avec Hassan.
Pas de risque, tu es à moi et seulement à moi. Dailleurs, pour ce qui concerne ton vagin et ton anus, jai posé comme condition préservatif obligatoire. Moi et seulement moi suis autorisé à jouir en toi. Je ferai une exception pour mes potes Kamel et Yanis, qui sont comme des frères pour moi et qui, à partir de la semaine prochaine, nous recevrons chez eux.
Nous commencions à être entourés.
Rachid, tu ne tétais pas vantée. Ouah, elle est superbe ta bourge !
Et jai tenu ma promesse, je vous la ramène. Son mari voulait être cocu, il va être servi !
Elle est beaucoup plus jolie que celle que tu nous avais amenée la dernière fois.
Ils parlaient de Sylviane, lancienne prof de Rachid, qui avait été sa proie pendant près de deux ans.
Et vous verrez, elle est encore plus salope, plus chaude. Elle est insatiable, je compte sur vous les gars pour quelle prenne son pied.
Et en plus, il parait que cest lépouse de T. On va bien la lui baiser, sa meuf, on va la démonter !
Nous nous sommes dirigés vers une entrée, et de là, vers une grande cave où était installé un matelas, des coussins, quelques chaises pour ceux qui allaient être spectateurs, avant de profiter de moi à leur tour. Sur une table, des boites de préservatifs.
Le lieu nétait pas sordide, comme je lavais craint, il était correctement éclairé et était propre.
Cest ici quon fait nos tournantes. Cest assez rare quon puisse avoir des bourge comme toi. Et avec le bouche à oreille sur tes performances, à mon avis, nous navons pas fini de venir chaque semaine à la cité. La prochaine fois, ce sera plus confortable. Notre pote Kamel nous mettra à disposition un appartement. Pour cette raison, il sera le premier à thonorer. Cest OK pour venir chez toi la semaine prochaine, Kamel.
Oui, cest libre. Il ne faudra juste pas que ça arrive aux oreilles de mon grand frère Hassan, il me ait !
Hassan ne sait pas ce quil perd. Bon les gars, on passe aux choses concrètes ! Olga est à vous, prenez-en soin ! Dautant que nous avons un spectateur !
Cest alors que je vis, installé sur une chaise, Philippe, que Rachid avait fait venir. Jallais faire en sorte quil ne soit pas déçu, il allait en avoir pour son argent.
Faut quand même être vicieux pour mater sa meuf en train de faire baiser ! Mais puisquil aime ça, on va bien le cocufier !
Tu es là, près de moi, mon Philippe. Ca augmente encore mon excitation. Profites-en bien, je sais que tu adores voir ta chérie prendre son pied. Rachid fait de moi une pute, cest ce que tu voulais !
Rachid sapprocha, me prit dans ses bras, membrassa longuement, me dit à loreille « Je te ferai lamour toute la nuit, je suis fier de toi », puis fit tomber ma jupe, passa par-dessus mes bras mon débardeur. Je navais pas de soutien-gorge, comme bien souvent et mes petits seins se dressaient, exprimant mon excitation. Le mini-string fut aussi descendu. Jétais désormais nue et offerte, ne portant plus que mon alliance, devenue symbole de mon adultère permanent.
Elle est à vous. Faites-la bien jouir. Kamel, à toi lhonneur !
Kamel sétait déjà mis nu et sapprocha de moi, exhibant une verge dont lérection était déjà impressionnante.
Je ne savais pas ce qui se passait en moi. Je ne me reconnaissais plus ! Jétais devenue, sous la coupe de Rachid, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, cétait que je me sentais parfaitement à laise. Il ny avait pas la moindre gêne en moi. Cétait comme si javais toujours vécu ainsi : comme une pute ! Jétais devenue ce quils appelaient une kahba, ce que dans lhistoire antique de mon pays on appelait une hétaïre. Cétait ce que mon mari Philippe avait tant voulu et ça se réalisait sous ses yeux, dans cette cave de la cité de notre ville !
Kamel était tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules, ses muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles dun adolescent qui pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Et entre ses jambes, lobjet de mon désir! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que celui de Rachid, mais avec une forme différente. Un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il était dressé vers le plafond. Il paraissait très ferme et très dur. Le garçon avait gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe - la hampe et même les bourses - était soigneusement épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Kamel me laissa faire un court moment, puis pris ma main pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux petits gémissements presque inaudibles quil poussait, quil aimait cette entrée en matière. Il semblait de plus en plus excité. Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Quest-ce quil voulait me faire ou que je lui fasse- en priorité. Jétais tentée de me mettre tout de suite à genoux devant lhomme et de moccuper de le faire jouir avec ma bouche. Dun autre côté, je voulais voir - et sentir- le magnifique engin prendre possession, à la hussarde, de lun de mes trous. Je coulais littéralement.
Ce fut Kamel qui régla le problème en me susurrant à loreille :
Je veux te baiser debout !
Cette idée dêtre tirée dans cette position accentua encore plus mon excitation. Je voulais quil le fasse sans plus tarder.
Kamel était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais quil voulait y aller en force. Quil voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Quil voulait me prendre brutalement.
Plus tard, jai fini par comprendre que cétait ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me regardaient ou me parlaient, lenvie de me tirer à la hussarde. Cétait ce genre de sentiment que je déclenchais invariablement chez les hommes. Jétais le genre de femme faite pour être brutalisée. Rachid lavis compris, comme Marie dailleurs. Kamel semblait hésiter encore un peu, pensant que je nallais pas apprécier son comportement de brute. Il ne savait pas encore que jadorais être brutalisée et avoir mal.
Quest-ce que tu attends ? Montre-moi la force de ton zob ! Enfonce-le moi !
Il attrapa ma jambe droite en dessous du genou, la remonta très haut, et me souleva denviron une dizaine de centimètres au-dessus du sol, pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche sinsinua entre mes cuisses et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière pour permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine. Et puis tout chavira !
Je sentis lhomme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. Dun coup violent, il me pénétra jusquau fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale et douloureuse. Jétais servie! La position verticale ajoutait beaucoup dintensité à la force de lengin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Rachid aussi avait pour habitude de me tirer furieusement. En me sodomisant chaque jour, il méclatait le cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais ce nétait rien cette queue qui était en train de me déchirer la vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Kamel allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. Il me traitait de tous les noms doiseau, pendant quil me défonçait le con, relayé par les autres, spectateurs pour le moment, mais qui savaient que leur tout viendrait. Ils étaient fascinés et plein de mépris.
Prends ça, espèce de pute ! Tu le sens bien ? Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis une pute » ! Dis-le !
Mon excitation augmenta dun cran à lécoute des mots à peine audibles, crus et avilissants que Kamel prononçait. Javais envie de lui répondre sur le même registre, mais je nosais pas. Javais envie de hurler les mots crus qui me venaient à lesprit. Je me contentais pour le moment de pousser un cri de satisfaction à chaque fois que le mâle me pénétrait en force. Jécoutais le bruit impudique que faisait la verge de Kamel en allant et venant dans mon vagin. Ma cyprine séchappait de dessous mes grandes lèvres et aller sétaler par terre. Les clapotis que jentendais ajoutaient de lintensité au plaisir que je prenais et à mon désir de hurler pour pousser ce mâle à y aller encore plus fort.
Encore ! Encore ! Tire-moi encore ! Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute, la pute de Rachid ! Jadore être une pute ! Jadore ton zob ! Jadore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer ! Regarde mon mari, comme il aime ça !
Assis sur une chaise, Philippe avait sorti sa queue et se caressait doucement.
Ca te plait, mon chéri ?
Oui, mon Olga, tu réalises tous mes fantasmes. Vas-y, mon amour, continue !
Kamel continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité. Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. Javais mal. Mais que cette douleur était agréable ! Jétais accrochée à la nuque de Kamel. Et je continuais de recevoir avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais quil fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes. Je sentais quil était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue! Continue de me baiser debout ! Jadore ça ! Laisse la pute jouir avant toi ! Continue de la baiser !
Kamel, revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes.
Elle est bonne ta chatte! Le suivant, mon frère Yanis, veut te tirer par derrière ! Par ton cul ! Quand jen aurai fini avec ta chatte, il te défoncera le cul !
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi. , jusquà atteindre des sommets. Et puis lorgasme arriva avec force. Je maccrochais encore plus fort à la nuque de lhomme et posais ma tête sur son épaule. Jeus tout de suite envie dy mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et jadorais ! Je lui rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Je le sentis qui se crispa une fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin.
Je me mis à hurler comme une folle des dizaines de « oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible. Si je navais été retenue par le mur contre lequel Kamel mavait plaquée et immobilisée et, sil ne mavait pas empoignée le dessous du genou pour remonter ma jambe, jaurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Kamel continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant. Et puis, tout sarrêta subitement. Il y eut un silence qui dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de la gorge de lhomme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à lintérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe gauche et allait sétaler par terre sur le sol de cette cave.
Vaincu par la fatigue, il sortit sa verge, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par terre.
Impatient, Yanis sapprocha à son tour et ne voulait pas me laisser de répit. Pour ces jeunes gens, je nétais plus quune machine à plaisir. Excité par ce quil venait de voir, Il bandait très fort. Je sentis les mains de Yanis se mettre en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à loreille quil me sodomiser. En fait il nutilisa pas cette terminologie; il me dit simplement quil avait envie de me baiser par derrière. Tout en continuant de parler de mon cul, de mes fesses, de mon trou de balle, il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un doigt qui sarrêta longuement à lentrée de mon anus et qui sy insinua.
Pute, le chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! Cest Rachid qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?
Rachid méclate régulièrement le cul. Et il me fait encore très mal. Avec un tel zob, tu vas me !
Je ne me posais aucune question. Je me demandais seulement comment il allait sy prendre pour menculer. Rachid, pour me sodomiser, me mettait à quatre pattes. Yanis, lui, voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et les replia de part et dautre de ma poitrine. Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je sentais palpiter. Il allait menculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que jallais pouvoir admirer lengin qui entrera et ressortira de mon cul.
Yanis plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, quil étala autour de mon anus palpitant. Il refit lopération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci deux doigts dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son gland, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses hanches.
Prends espèce de pute ! Je vais te démolir le cul !
Dès quil pénétra dans mon anus, son engin réveillé la douleur des sodomies de Rachid. Javais le cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de mon trou était divin ! La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille du spectacle que javais sous les yeux. Yanis faisait maintenant sortir totalement son engin de mon cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à lassaut de mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente.
Jétais au paradis ! Je pensais avoir connu, avec Rachid, le paroxysme du plaisir, et je ne pensais pas quil pouvait y avoir plus que cela. Yanis prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
Caresse-toi la chatte ! Branle-la !
Il voulait que je me masturbe en même temps quil menculait. Cette idée me parut tout de suite merveilleuse. Jintroduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une double pénétration ! La sensation que me procuraient la bite de Yanis allant et venant furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même mouvement dans mon vagin, étaient indescriptible. Et le frottement de mes doigts sur lengin de Mohand, à chaque fois quils se croisaient à travers les parois rectale et vaginale, créait en moi - en nous - une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un immense rugissement de plaisir.
Jaurais voulu que cela dure longtemps, très longtemps. Ceux qui attendaient leur tour avaient sorti leur queue et ne pouvaient plus attendre, se branlaient. Ils sapprochèrent. Lun menfonça son pieu dans la bouche, pour que je le suce. Un autre me plotait les seins sans ménagement. Trois autres étaient proches, je savais quils allaient gicler sur moi.
Ni Yanis, ni moi ne purent arrêter lorgasme qui fonçait sur nous. , tel un ouragan. Je fus la première. Javais limpression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais et la bite qui occupait ma bouche métouffait.
Je ne sentais plus les battements de mon cur. Je crus un moment quil sétait arrêté. Celui à qui je pratiquais une fellation se vida dans ma bouche et attendit que jaie tout avalé avant de se retirer. Ma bouche dégoulinait de bave, le sperme coulait aussi sur mon menton ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et narrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible. Des tas dimages et didées me traversaient lesprit, que je narrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir de ma bouche, cétait une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Yanis et à me masturber en même temps, à moffrir à la débauche la plus totale et la plus avilissante.
Yanis, qui, pendant tout ce temps, continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de kahba, attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement denfer à lintérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais.
Il déversa, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Quand il se retira, il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui séchappait de mon anus, pour aller sétaler sur le sol de cette cave, où ces jeunes honoraient comme il se devait lépouse dun des notables de la ville, que leur avait offerte leur pote Rachid.
Cest à ce moment-là que je reçus des autres qui se branlaient près de moi une douche de sperme. Jen reçus sur le visage, les cheveux, les seins. Parmi ceux qui mhonoraient ainsi, il y avait Rachid, mais aussi mon mari Philippe, qui me tenait la main et me disait des mots damour.
Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que ces jeunes allaient me baiser plusieurs fois encore et quil allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
Jespérais être à la hauteur de leurs désirs. Jamais je navais poussé jusque-là mon hypersexualité. Il me restait encore beaucoup de chemin à parcourir.
Tu es fatiguée ? Tu nen as pas encore fini avec eux, ils vont tépuiser, me dit Rachid.
Un nouveau mâle me prit par les hanches, me força à me mettre à quatre patte sur le matelas et entreprit de me tirer en levrette. Jétais morte de fatigue. Je me disais que je nallais rien ressentir et surtout, que je nallais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes, au moment où le gourdin pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de lhomme tirer sur mes hanches pour une pénétration à la hussarde, lexcitation et le désir revinrent en trombe. Jeus un autre orgasme aussi puissant que les précédents
Quand nous quittâmes cette cave, tard dans laprès-midi, avec la promesse que je reviendrais chaque semaine, jétais sur les genoux. Mais tellement heureuse.
Je navais plus la force de prendre une douche, pour effacer la trace de mes ébats. Je commençais par rejoindre Philippe dans son lit.
Tu ne dors pas encore ?
Non, je tattendais ! Cétait merveilleux mon Olga. Tu as pris beaucoup de plaisir, tu as beaucoup joui. Tu me rends heureux, ma chéri
On en parlera demain mon chéri, je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout !
Je veux tout savoir sur les sensations que tu as eues, sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu es encore pleine du sperme de tes amants ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
Les paroles de Philippe avaient sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Philippe me lécha la chatte et lanus et avala toutes les sécrétions qui y étaient restées. Mais cest à Rachid, mon homme, que je moffrais une dernière fois, et bien entendu devant mon mari, car je savais combien il adorait ça. . Même morte de fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se comporta en amant vraiment à la hauteur. Je neus aucun besoin de simuler lénorme jouissance quil mavait procurée, en me tirant comme un taureau !
Et pourtant Rachid allait encore me faire aller plus loin dans mon hypersexualité.
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